DESHAIES GENDRON Claude

Catégorie: Portraits
Année : 1704

 

*PC.847

Âge du modèle : 41 ans

Huile sur toile
Dimensions inconnues
Localisation actuelle inconnue (probablement détruit à Saint Domingue).

Historique :

Paiement inscrit aux livres de comptes en 1704 pour 150 livres (ms. 624, f° 22 v° : « M[onsieu]r Gendron ») ; collection Deshaies Gendron à Auteuil ; par descendance à l’une de ses petites-filles ; emporté par elle sur l’île de Saint-Domingue où il fut détruit lors des troubles qui ont soulevé l’île.

Bibliographie :

Hulst/3, p. 183 ; Dureau, 1872, t. V, p. 28-41 ; Gower, 1874, f° 122 ; Delignières, 1876, n° 24, p. 15-16 ; Tabaries de Grandsaignes, 1903, t. 4, p. 226-230 ; Tabaries de Grandsaignes, 1910, t. 7, n° 71, p. 53-55 ; Champault, 1912, p. 104-105 ; Roman, 1919, p. 108, 111 ; Roux, VI, 1949, n° 24, p. 71 ; Rambaud, 1964, p. 621 ; James-Sarazin, 2009/1, n° 103 (cit.), p. 160 ; Perreau, 2011, p. 50-55 ; Perreau, 2013, cat. *PC.847, p. 185-186 ; James-Sarazin, 2016, II, cat. *P.894, p. 302-303 (2003/2, cat. I, n°736).

Copies et travaux :

  • 1704 : Bailleul reçoit 9 livres pour avoir « habillé m[onsieu]r Sendron » (ms. 625, f° 17 v°).

Œuvres en rapport :

  • 1. Huile sur toile d’après Rigaud. Localisation actuelle inconnue (ancienne collection Parent du Rosent. Datée et signée au dos : « peint par Hyacinthe Rigaud, 1719 ».
  • 2. Pierre noire et lavis sur papier bleu d’après Rigaud (Viennot ?). H. 30,7 ; L. 20,9. Chantilly, musée Condé. DE PD 480 (ancien numéro 305 B2). Ancienne collection Alexandre Lenoir[1] ; Henri d’Orléans, duc d’Aumale (L 2779 en bas à gauche) ; donation au musée sous réserve d’usufruit en 1886. Voir Gower 1874, f°122 (comme autoportrait de Rigaud) ; Inv. Portraits dessinés, V, p. 528.
  • 3. Pierre noire, rehauts de craie blanche et de gouache blanche, sur papier bleu, suiveur de Rigaud, H. 31 ; L. 25,5. [variantes dans le visage et la vêture]. Collection particulière (vente New York, Sotheby’s, 26 janvier 2005, lot 157 ; vente Christie’s Paris, 10 avril 2008, lot 67 ; Perpignan, Collection particulière ; vente Paris, hôtel Drouot, Tajan, 11 mai 2011, lot 50 ; id., 3 mai 2012, lot 29).
  • 4a. Gravé par Jean Daullé, en 1737, « demi-figure avec une main tenant un livre posé sur l’appui d’une fenêtre. Cette fenêtre accomodée par M. Rigaud pour la gravure » selon Hulst[2], H. 44 ; L. 35. Dans le cartouche au bas de l’estampe : « Claudius Deshais Gendron / Doctor Med. Facult. Monspel. » Sur le pied du socle, en bas, respectivement à gauche et à droite : « Peint par Hyacinthe Rigaud Écuyer chevalier de l’ordre de St Michel – Et gravé par J. Daullé 1737 ». Portalis juge les livres très bien rendus et la planche harmonieuse. Voir Delignières, 1876, n°24 ; Portalis & Béraldi, 1880-1882, I, p. 654, 671 (n°61) ; Marcel Roux, Inventaire du fonds français, graveurs du XVIIIe siècle / Bibliothèque nationale, Département des estampes, Tome VI, n°24, p. 71.
  • 4b. Gravé par J. Gignoux, en contrepartie de l’épreuve de Daullé, sans l’architecture de pierre, tronqué au niveau de la main, avec la lettre erronée suivante : « Bernard de Fontenelle / Secretaire Perpetuel de l’Academie des Sciences. » Sous le trait carré : « Peint par H. Rigaut - Gravé par J. Gignoux ».  
  • 5. Huile sur carton d'après Rigaud (XIXe ?). H. 56 ; L. 42 cm. Vente Bordeaux, Briscadieu, 17 novembre 2018, lot. 17. Est. 700 - 900 €.

Descriptif :

Né à Voves, en Eure-et-Loir, Claude Deshais (1663-1750), dit Deshais-Gendron ou Gendron, était le fils de Louis Deshais et d’Esther Mullot. Il officia comme docteur de la Faculté de Montpellier. Il perpétua ainsi une longue tradition familiale, héritée de l’un de ses grands oncles, l’abbé François Gendron (1618-1688), dont les services (que l’on disait miraculeux), avaient été mis à contribution en 1664 afin de soulager la reine Anne d’Autriche d’un cancer du sein[3]. Si la tentative ne réussit pas, la célébrité acquise par l’abbé et son expérience préalable chez les Huron de Nouvelle France, rejaillit sur son descendant. Sa famille s’établit rapidement, vers 1671 à Orléans, où elle demeure sur la paroisse Saint Paterne[4]. Ajoutant un temps le patronyme Gendron au sien, Claude Deshais, embrassa l’état ecclésiastique avant de se consacrer à la médecine dont il suivit l’enseignement à Montpellier. S’il publia en 1700 de célèbres Recherches sur la nature et la guérison des cancers, c’est en soignant les yeux qu’il s’acquit une solide réputation en devenant médecin de Monsieur, frère du roi puis, après 1715, de son fils, le Régent. Ses qualités humaines et sa culture firent de lui l’ami des hommes de science et des lettrés, tels Montesquieu, Voltaire et Boileau.

C’est dans l’ancienne maison qu’il avait acquise du dernier, à Auteuil, qu’il reçut savants, ambassadeurs et personnalités influentes, avant de s’y enfermer en quasi-ermite jusqu’à son décès. Rigaud rencontra Gendron probablement assez rapidement car il eut a peindre, dès 1688, le frère du roi puis, l’année suivante, le futur Régent, alors duc de Chartres. De plus, l’occuliste demeurait, dès 1700 dans le quartier de la place des Victoires à Paris, rue des Petits-Champs, en face de la rue Vivienne, et se trouvait donc être un proche voisin de Rigaud. On sait également que le médecin partageait avec le peintre un goût pour la collection d’œuvres d’art. Son inventaire après décès mentionne notamment un Rubens, un Nanteuil ou un Bassano mais aussi « quarante six estampes représentant différents portraits gravés par le sieur Drevet d’après M. Rigault » (n°95).

Son portrait par Rigaud, commandé quarante six ans plus tôt, fut quant à lui, simplement prisé pour mémoire : « N°92. Item quatre tableaux représentant portrait d’homme dont deux représentant mon dit sieur Gendron[5], et les deux autres portraits de famille[6] ». L’attitude n’était pas nouvelle. L’aide d’atelier François Bailleul répéta en 1704, avec des variantes, un « habillement » créé en 1698 pour le poète et diplomate Matthew Prior (1664-1721)[7]. Ce procédé expliqua sans doute les modiques 150 livres exigées pour le portrait, somme ordinairement dévolue à cette époque à un simple buste sans mains. Quinze ans avant la disparition de Gendron, le jeune graveur Daullé fut remarqué par Rigaud, qui lui confia la réalisation de l’estampe en contrepartie du portrait du médecin. Mariette assura que le résultat pouvait être mis avec raison au rang de ce que son auteur fit « de plus accompli » d’après le portraitiste[8]. Jean Gignaux, graveur Suisse qui en vit une épreuve à la même époque, s’en inspirera également de manière confondante, preuve de son succès et de sa qualité. Malheureusement, le portrait original a disparu dans les troubles révolutionnaires de l’île de Saint Domingue où s’était établie une héritière de Gendron.

En 1872, Dureau mentionne quelques exemplaires encore existants du portrait : « L’on connaît un beau portrait de Claude Deshais-Gendron. Les descendants de ce médecin, à Voves [Eure-et-Loir], en possèdent un exemplaire. J’ai vu celui qui est dans la collection remarquable de M. Parent du Rosan » [Charles-Félix Parent (1798-1890)]. En effet, une copie ou réplique, portant au dos la mention fait par Hyacinthe Rigaud 1719[9], passa successivement entre les mains de Charles-Félix Parent du Rosan, banquier d’Auteuil puis du maire de Chatillon-sur-Loire, Philippe Champault. À sa mort, la toile revint à Paris, dans la famille Deshais-Gendron où Joseph Roman la signalait en 1919. Enfin, on pourra évoquer la parenté stylistique de la pose choisie par Gendron d’avec celle du portrait de son ami Boileau, peinte également en 1704 : même port de tête, tournée vers la droite, les mains graciles indiquant les attributs du modèle… L’estampe de Daullé fut exposée au salon de 1742 (p. 27 du livret) ce qui permit à Mariette d’inclure l’estampe « au rang de ce qu’il a fait de plus accompli ». Dans son Abecedario (II, p. 62), il précise : « le célèbre Rigaud ayant eu l’occasion de voir une épreuve du portrait de la comtesse de Feuquières, fille de Pierre Mignard le peintre, et fameuse par sa beauté, que venoit de graver Daullé — ce fut M. Hecquet qui lui procura cette œuvre — il résolut de se l’attacher et d’en faire pour l’avenir son graveur. Il s’était refroidi pour les Drevet, en qui il croyoit ne plus appercevoir le même zèle et les mêmes égards. Sous la conduite d’un peintre si intelligent, Daullé fit plusieurs chefs-d’œuvre, qui lui méritèrent une place dans l’Académie royale de peinture et de sculpture. Il y fut admis en 1742 ».

Dans la recherche d’une paternité pour la feuille de Chantilly[10], le nom de Daullé fut évoqué. Cette feuille, mêlant crayon noir, lavis gris et rehauts de gouache blanche sur un papier bleuté, faisait partie de la collection privée qu’Alexandre Lenoir (1761-1839), alors conservateur du musée des Monuments français, avait constitué en partie grâce à des biens d’émigrés révolutionnaires. Elle passa ensuite en 1838 dans celle du second duc de Sutherland, George Leveson Gower (1786-1861), puis fut acquise en 1876 par le duc d’Aumale[11]. Intuitif, mais vraisemblablement trompé par le faux « bonnet d’artiste » récurrent chez les modèles figurés en tenue d’intérieur, Gower cru d’abord y reconnaître un autoportrait de Rigaud. Il est vrai que la fausse décontraction du personnage, comme surprit dans son intimité, n’était pas sans rappeler l’Autoportrait dit « au porte-mine » de 1711, largement popularisé par l’estampe de Pierre Drevet[12]. L’entrée du dessin dans les collections d’Aumale fut ensuite l’occasion de rétablir la véritable identité du modèle en le comparant avec une gravure réalisée en 1737 par l’abbevillois Jean Daullé (1703-1763), elle aussi dans la collection du duc d’Aumale, et dont la « lettre » dispersait les moindres doutes : « Claudius Deshais Gendron / Doctor Med. Facult. Monspel. ». Cette identification a permis de rejeter celle, fautive, d’un autre dessin d’après Rigaud qui ne fait que copier, non sans maladresses, l’attitude de Gendron inspirée, nous le verrons, d’un portrait plus ancien[13]. Cependant, la finitude du présent dessin cadre mal avec la sécheresse habituellement rencontrée dans les dessins attestés de graveurs tels Picart, Chéreau ou Drevet. Le portrait de Gendron ne présente pas non plus de « mise au carreau » traditionnelle, destinée au travail du burin ou à la production de copies à l’huile. Enfin, Hulst, premier biographe de Rigaud, décrivit cette « demi-figure avec une main tenant un livre posé sur l’appui d’une fenêtre, […] accomodée par M. Rigaud pour la gravure »[14], attestait ainsi de l’intervention du maître pour l’agrément du décor architecturé et l’extension du drapé débordant. Le muret de pierre sur lequel le cahier, le livre ouvert et manteau viennent s’appuyer, est plus rustique que dans la planche de Daullé, dans l’esprit de la colonne annelée du fond. Les plis du grand drapé retombant sur le muret sont également plus simples. Si Daullé avait transposé au crayon la toile de Rigaud, son travail eut probablement compris le décor final, retouché par le maître, à l’instar du portrait anonyme figurant Nicolas Édelinck (Paris, école Nationale supérieure des Beaux-arts), dans lequel la fenêtre de pierre décorée d’attributs et d’un lourd rideau, devait sublimer un buste peint inachevé (fig. 7)[15]. Le dessin de Chantilly appartient donc bien au groupe spécifique des pièces commandées par Rigaud, dans les années 1700-1707, à des aides d’atelier spécialisés tels Monmorency et Viénot. Si la biographie de ces deux artistes reste aujourd’hui particulièrement indigente, leurs travaux pour l’atelier à cette époque sont récurrents et se concernent des postures à succès. Ainsi, le visage qualitatif de Gendron, les contours parfois diffus des drapés, le traitement un peu scolaire du lavis gris et, plus encore, la franchise des ajouts de gouache blanche renvoient à la technique désormais mieux connue de Charles Viennot (v. 1680-1741) grâce à une feuille récemment réapparue. Il s’agit du dessin exécuté par celui-ci en 1700[16] d’après l’effigie de Matthew Prior (évoquée plus haut), dans le but d’être gravée[17] (fig. 8). Malgré l’absence d’une trace de la commande officielle du dessin figurant Gendron, il est très probable de voir dans l’œuvre de Chantilly la main de Viennot, retouchée par Hyacinthe Rigaud. La technique vive et enlevé de son crayon noir, touché de quelques coups de pinceau au lavis d’encre s’y retrouve, à l’instar du portrait de Prior. Les dimensions très similaires de ces deux dessins (alors que l’estampe de Daullé est nettement plus grande) est un argument supplémentaire dans l’attribution à Viénot. Pour le dessin [PC.847-3] on renverra à l’article de Brême sur les œuvres dessinées de Rigaud (2000, p. 48) et au catalogue de l’exposition « Rigaud intime »[18].


[1] Alexandre Lenoir (1762-1839), élève du peintre Doyen, devint conservateur du musée des Monuments français, installé en 1795 dans l’actuelle école des Beaux-arts. Il sauva de nombreuses sculptures provenant des collections royales et des biens d'émigrés, en prenant parfois des risques (il fut blessé à la main d'un coup de baïonnette en protégeant le mausolée de Richelieu à la Sorbonne). Il constitua une collection personnelle de portraits provenant en partie des biens d'émigrés. Parfois Lenoir mentionne au dos des œuvres les provenances (les rares achats connus semblent se situer principalement entre 1814 et 1817), mais aucune pour les dessins de Lagneau. Sous la Restauration, Lenoir proposa sans succès sa collection aux rois Louis XVIII, Charles X et Louis-Philippe. Sa collection fut acquise en 1838 par George Leveson Gower (1786-1861), deuxième duc de Sutherland. Elle se composait de 217 portraits, soit 69 peintures et 148 dessins. Le duc de Sutherland, né en 1786, fils de l'ambassadeur de Grande-Bretagne à Paris de 1790 à 1792, connaissait bien la France et avait partagé les jeux du futur Louis XVII aux Tuileries. Il possédait à Londres un hôtel particulier, Stafford House, dont la galerie de peintures présentait des oeuvres de Tintoret, Raphaël, Corrège, Murillo et Velasquez. Cette collection était très connue en Angleterre ; en 1854 le docteur Waagen décrivit la collection Lenoir exposée dans deux salles, insistant sur les dessins du XVIe siècle des Clouet. Une liste de la collection Lenoir à Stafford House fut imprimée alors que la collection se trouvait en Angleterre, entre 1838 et 1876. Le deuxième duc de Sutherland mourut en 1861, laissant deux fils, dont le cadet, Ronald, dessina et lithographia 137 des 217 portraits de la collection Lenoir, qu'il publia en 1874 sous le titre The Lenoir Collection of original French Portraits at Stafford House, autolithographied by lord Ronald Gower. Ces planches, de qualité assez médiocre, sont légendées et commentées par Gower qui a souvent repris les identifications proposées par Lenoir. Cet ensemble attira l'attention de Henri d'Orléans, duc d'Aumale (1822-1897), fils du roi Louis-Philippe exilé en Angleterre de 1848 à 1871 et l'un des plus grands collectionneurs du XIXe siècle. Il avait probablement visité Stafford House pendant son séjour à Londres et souhaitait faire revenir dans le patrimoine national cette collection de portraits historiques français. En 1872, il rentra en France après la chute du Second Empire, et entreprit la reconstruction d'une partie de son château de Chantilly pour y installer ses collections. Il acquit la collection en 1876 pour 200 000 francs.

[2] Mémoires inédits… p. 185.

[3] Champault, 1912, p. 35-130.

[4] Ibid., p. 53.

[5] L’autre effigie de l’oculiste fut publiée par Antoine Édouard de Tabaries de Grandsaignes : « Un portrait inconnu de Claude Deshais-Gendron », dans Bulletin de la société historique d’Auteuil et de Passy, 1910, t. 7, n°71, p. 53-55.

[6] Champault, descendant et historiographe du modèle, identifia les deux portraits anonymes comme étant celui de Guy Gendron, frère de Claude, et celui de l’abbé François Gendron qu’il reproduit dans son article de 1912. La posture de cet ovale semble identique à celle utilisée par le peintre montpelliérain Antoine Ranc pour son portrait de l’évêque Colbert (Montpellier, musée Fabre, Inv. 04.5.1).

[7] Welbeck Abbey, Nottinghamshire, collection du duc de Portland. Cat. 237. Roman, op. cit., p. 64.

[8] Pierre Jean Mariette, Abecedario, II, p. 62.

[9] Ce type d’indication est la signature ordinaire de l’atelier, non une signature autographe.

[10] Chantilly, musée Condé, Portraits dessinés, t. V, p. 528. Inv. PD-480.

[11] La collection Lenoir-Gower fut publiée à Londres en 1874 par le fils cadet du duc de Sutherland, Lord Ronald Gower, sous le titre The Lenoir Collection of original French Portraits at Stafford House. Le dessin figure au folio 122.

[12] Stéphan Perreau, Hyacinthe Rigaud, le peintre des rois, 2004, p. 140-42, repr. p. 141, fig. 109.

[13] Dominique Brême, « Hyacinthe Rigaud dessinateur », Dossiers de l’art, 2000, n°1H, p. 48, repr. Le dessin passa successivement en ventes publiques chez Sotheby’s-New York (2005), Christie’s-Paris (2008) puis chez Tajan-Paris (2011).

[14] « Catalogue de l’œuvre gravé du sieur Hyacinthe Rigaud », dans Mémoires inédits sur la vie et les ouvrages des Membres de l’Académie de Peinture et de Sculpture, Paris, II, 1854, p. 185.

[15] Paris, musée du Louvre. Inv. 20341. La gravure ne fut jamais réalisée.

[16] Roman, op. cit., p. 84. Crayon noir, estompe et rehauts de gouache blanche sur papier bleu ; mis au carreau. H. 32,5 ; L. 26 cm. Vente Paris, hôtel Drouot (Tajan), 16 novembre 2007, lot. 70.

[17] Seule la tête servit à Claude Duflos pour son estampe de 1712.

[18] ed. La Célestina, 2009, n°103, non exposé, p. 160.

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Autoportrait de Hyacinthe Rigaud. Coll. musée d’art Hyacinthe Rigaud / Ville de Perpignan © Pascale Marchesan / Service photo ville de Perpignan