*PC.1132
Âge du modèle : 47 ans
Huile sur toile
Dimensions inconnues [buste]
Localisation actuelle inconnue.
Historique :
Paiement inscrit aux livres de comptes en 1711 pour 300 livres [prix pour deux portraits] (ms. 624, f° 32 : « M[onsieu]r de Mégrigny, cons[eill]er au parlem[en]t et mad[am]e de Mégrigny [rajout :] habillem[en]ts répétés »).
Bibliographie :
Roman, 1919, p. 157, 159, 161 ; Perreau, 2013, cat. *P.1132, p. 229 ; James-Sarazin, 2016, II, cat. *P.1206, p. 399 [2003/2, cat. I, n°954].
Copies et travaux :
- 1711 : « Une [copie] de M[onsieu]r de Mégrigny et une de sa fem[m]e » pour 150 livres (ms. 624, f°33).
- 1711 : Bailleul reçoit 24 livres pour « une coppie de M[onsieu]r de Mégrigny », sans doute celle de l'année, et 10 autres pour avoir « Habillé M[onsieu]r de Mégrigny », sans doute le paiement rétroactif de l'original de 1711 (ms. 625, f°29).
Descriptif :
Neveu de l’évêque de Grasse qui passera chez Rigaud l’année suivante, Charles-Hubert de Mesgrigny (10 octobre 1664 – 30 juin 1732), vicomte de Troyes, marquis de Mesgrigny et Vandœuvre, conseiller au parlement de Paris (22 septembre 1693), était le fils de Jean-François (mort en 1685), marquis des mêmes lieux, vicomte de Troyes, baron de Louchey, seigneur de Montmartin, « premier écuyer tranchant et porte-cornette blanche ».
Les Mesgrigny étaient à la tête d’une grosse fortune qui vint grossir celle du futur garde des Sceaux, Chauvelin, petit-neveu de Madame de Mesgrigny peinte cette même année en pendant de son époux.