*P.120
Âge du modèle : 31 ans
Huile sur toile
H. 132 ; L. 100 cm
Localisation actuelle inconnue
Historique :
Paiement inscrit aux livres de comptes en 1687 pour 258 livres 15 sols [à mi-corps] (ms. 624, f° 3 v° : « Mons[ieu]r Bruiningue [rajout : Brunenc, Jean, natif de Lion] ») ; collection du baron Guilibert à Aix-en-Provence ; Lyon, collection Bourgeot en 1919 selon Roman.
Bibliographie :
Hulst/2, p. 147 ; Hulst/3, p. 170 ; Jouin, 1878, p. 70 ; Roman, 1919, p. 13 ; Hardouin, 2000, p. 118 ; Perreau, 2004, p. 41 ; Perreau, 2013, cat. *P.120, p. 75 ; James-Sarazin, 2016, II, cat. P. 123, p. 49-50 (2003/2, cat. I, n°105).
Expositions :
1878, Paris, n°331.
Œuvres en rapport :
Descriptif :
Marchand de soie, trésorier de France à Lyon, consul, Jean de Brunenc (1656-1704)[1]. était le fils de Jean Brunenc (Saint Légier en Gévaudan, 1606 – Lyon, 20 décembre 1673), marchand drapier, bourgeois, banquier à Lyon, et de sa seconde épouse Anne-Marie Marion (née à Lyon le 15 décembre 1624), veuve de Bernardin Hiervadel (1626-1649), bourgeois lyonnais.
Dans son Catalogue de l’œuvre gravée d’après Rigaud, et à propos de la gravure de Vermeulen, Hulst précise : « Gravé en 1689 par Corn. Vermeulen. Plusieurs années après, ce particulier se décora de la petite croix de chevalier romain qu’il fit alors ajouter dans cette planche, dont il faut ainsi avoir ces deux exemplaires, si l’on veut avoir l’œuvre de M. Rigaud absolument complet. »
Le graveur hollandais Petrus Schenck (1645-1715) produisit à une date inconnue une estampe figurant le portrait de son confrère Simon Schynvoet (1653-1727), pastiche en contrepartie de l’épreuve de Vermeulen d’après Rigaud[2].
[2] Malgré notre vigilance, une erreur d'impression dans notre catalogue de 2013 indique par erreur la date de naissance du modèle comme 1696.
[1] San Francisco, Achenbach Foundation for Graphic Arts, inv. 1963.30.14191 (H. 25 ; L. 18,2 cm) ; Perreau, 2013, ill. p 48, fig. 46.