LE BOUTHILLIER DE RANCÉ Armand Jean

Catégorie: Gravures
Année : 1700

 

P.496-16a

Gravé en buste par Nicolas Bazin en 1700 selon Hulst : « buste simple tourné à gauche et ainsi du même sens que le tableau d’où il est tiré. L’estampe grandeur de thèse moyenne. »

Bibliographie :

Rigaud, 1716, p. 118 ; Hulst/2, p. 165 ; Hulst/3, p. 177-178 ; Mariette, 1740-1770, III, f° 46 r°, n° 25, VII, f° 8 ; Boislisle, 1879-1928, III (1881), p. 255-260 ; Gruyer, 1899, n° 337 ; Gruyer, 1900, n° 88, p. 207-210 ; Roman, 1919, p. 56, 60 ; Roux, VII, 1951, n° 506, p. 139 et n° 145, p. 110 ; Gallenkamp, 1956, p. 198-202 ; Weigert, IV, 1961, n° 21, p. 183 ; Colomer, 1973, p. 31-34 ; Poisson, 1975, p. 191-205 ; Constans, 1995, II, p. 768, n° 4332 ; Perreau, 2004, p. 73-75 ; Levallois-Clavel, 2005, I, p. 108, 136, 207 ; ibid. II, p. 175-176, cat. P. Dr. n° 83 ; James-Sarazin, 2009/1, p. 174, 176 ; Perreau, « L’abbé de Rancé et un Adrien Leprieur peu courant », [en ligne], 11 novembre 2010, www.hyacinthe-rigaud.over-blog.com ; Perreau, 2013, cat. P.496, p. 128-129.

Œuvres en rapport :

  • 16b. Gravé par Pierre Drevet en 1702 ou 1700 selon Hulst : « petit buste tourné du sens opposé de celui qui précède [gravure de Bazin] ; petit format d’un in-4° ». H. 13,4 ; L. 8,8. Sur la face du socle : « monsieur de rancé abbé et / reformateur de la trappe / Quem mirare Senem christi patientis imago est : / Moribus et Scriptis Spirat et ore crucem / F. B. » ; sous le trait carré à gauche, « H. Rigaud pinx. » ; à droite, « P. Dr.evet Sculp. » Cette estampe figure dans le tome I de l’ouvrage de l’abbé Pierre de Maupéou paru in-octavo en 1702 : La Vie du très révérend père Dom Armand Jean le Bouthillier de Rancé, abbé réformateur de la Trappe, dédié au roy, A Paris, chez Laurent d’Houry.
  • 16c. Gravé par Delpeche (cit. par Gower).
  • 16d. Gravé de Étienne Jehandier Desrochers en 1766. Buste dans un ovale, tourné vers la gauche. Dans la bordure de l’ovale : « Armand Jean Boutillier de Rancé Premier Abé Reformé de la Trappe Décédé le 27. Octob. 1700 agé de 76 Ans ». Dessous : « H. Rigault pt. Gravé par E. Desrochers et se vend chez lui à Paris rue St. Jacques au mecenas ». En bas : « Tel fut ce Saint Abé qui de la Pénitence / Aux moines de son tems montra le vray sentier ; / Fils du grand Saint Bernard et son digne héritier / Il prêcha le travail, l’Oraison, le silence, / Et ne mit rien en avance / Qu’il ne pratiqua le premier ».
  • 16e. Gravé par Gilbert Fillœul. H. 29,8 ; L. 21,3. Dans un ovale à droite avec, dans la bordure la lettre suivante : « ARMANDUS IOANNES BOUTILLIER DE RANCE ABBAS B. MARIÆ DE TRAPPA MONASTICÆ DISCIPLINÆ REPARATOR AC VINDEX ». Dans le socle, sous l’ovale : « Aulæ delicias, et splendida nomina Spernit, / Quœ facit ingenium : flet, Silet, orat, arat, / I.F.B. / Domino D. Claudio Devert, / Viro ad eruendam et assenrendam Simplicem ac nudam / rituum Ecclesiasticorum veritatem nato / Sancti et diserti Abbatis, dum viveret amico / Graphice expressam effigiem dicabat / Gilberto Albertus Filloeul Abbavillœus ». Sous le trait carré, à gauche et à droite : « H. Rigaud pinx. G. Filloeul sculp. »
  • 16f. Gravé par Simon Thomassin.
  • 16g. Gravé par Louis Desplaces.
  • 16h. Gravé à mi-corps par Jean Crépy sans date : « figure jusqu’aux genoux, assise et les yeux attachés sur un crucifix ; l’air méditant et la plume à la main comme pour composer : l’estampe de la grandeur d’un in-4° » (Huslt).
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Autoportrait de Hyacinthe Rigaud. Coll. musée d’art Hyacinthe Rigaud / Ville de Perpignan © Pascale Marchesan / Service photo ville de Perpignan